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Observations sur la religion des Lacandons du Mexique méridional

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  Artículo impreso(a) y electrónico Idioma: Francés Tema(s) en español: Recurso en línea: Formatos físicos adicionales disponibles:
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En: Journal de la Société Des Américanistes Tome XLVIII (1959), páginas 141-196Nota de acceso: Acceso en línea sin restricciones Resumen:
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Cette étude est basée sur des observations réunies au cours d'un séjour que j'ai fait chez les Lacandons, en compagnie de Jacques Soustelle, en 1934. Jacques Soustelle et moi-même avons écrit divers articles sur les Lacandons x, mais jusqu'à présent nous n'avions pas encore publié, en ce qui concerne la religion, tout le matériel que nous avions recueilli alors. Il m'a paru intéressant de le faire pour diverses raisons. Les Lacandons sont parmi les très rares populations indiennes de l'Amérique moyenne qui n'ont été christianisées à aucun degré. Tous les autres groupes de populations ont été en contact avec les missionnaires et leur religion a été soit transformée complètement, soit plus ou moins marquée par l'évangélisation. Les Lacandons, au contraire, ont une religion qui a évolué depuis la conquête indépendamment de toute influence européenne, pourtant si proche d'eux. D'autre part, les Lacandons sont fort peu nombreux. Certains groapes sont en voie de disparition. Us forment un vestige des anciennes populations maya et permettent de se former une idée, au moins approchée, de ce qu'était recueillir leur idéologie avant qu'il ne soit trop tard. Certes, A. M. Tozzer avait étudié avant nous la religion des Lacandons, mais il n'a vécu que dans certains groupes du Nord, alors que nous avons vu, outre ces mêmes groupes, ceux de la région de Chocacté et du Lac Metsabok dans le Nord, et, dans le Sud, le groupe de San Quentin. Par ailleurs, Tozzer était allé chez les Lacandons en 1907 ; nous y sommes allés en 1934. Il était utile d'étudier les transformations qui avaient pu se produire en 27 ans. Il était encore plus utile d'observer des Lacandons que jamais personne n'avait vus, comme ceux de Chocacté et de San Quentin. Frances

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