Diplome d'Ingenieur Agronome L'Ecole National d'Ingénieur d'Horticulture et du Paysage d'Angers et du diplôme d'Agronomie Tropicale de L'irc SupAgro 2007

Bibliografía: hoja 93-95

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En Guatemala las cooperativas agrícolas como COADAP reciben programas de ayuda del exterior con el propósito de mejorar la administración, así como las formaciones de los apicultores. De esta manera no solamente en Guatemala mas y mas proyectos de desarrollo a través de la apicultura son propuestos. Sin embargo, podemos preguntarnos sobre la legitimidad de un desarrollo a través de la actividad apícola. Nuestro estudio quiere mostrar cuales campesinos son susceptibles de beneficiarse de tal iniciativa y bajo qué condiciones. El análisis del medio biofísico y la evolución histórica muestran la tendencia del desarrollo del ganado extensivo de bovinos en una región donde anteriormente solo se sembraba milpa asociado con frijol y se extraía chicle. Esto origino una deforestación importante y una presión territorial creciente. En reacción a esto, la apicultura se desarrollo como medio eficaz para aumentar los ingresos de las familias sin necesitar una superficie importante de terreno. Otras familias rurales, por el contrario, se orientaron a la ganadería de pequeña escala con o sin ordeñamiento. Además, como consecuencia de la repartición masiva de tierras en Petén, los pobladores están confrontados por ilegalidades acerca de la superficies que poseen. Español

El estudio de los sistemas de producción nos revela la rentabilidad de las practicas utilizadas. Por un lado, los campesinos que poseen muy pocas tierras y que solo siembran cultivos, están por debajo del rango de sobrevivencia. Además, los campesinos que invirtieron en vacas deberían ordeñar y elaborar quesos para aumentar la productividad de su ganado. Acerca de la apicultura, unas pocas colmenas no producen un aumento importante de los ingresos, debido a las depreciaciones del material y del tiempo de trabajo. También, los campesinos ya diversificados en ganado y que ya poseen un calendario de trabajo cargado no se benefician mucho al empezar la apicultura ya que los sueldos se llevan una gran parte de los beneficios. Por fín, los minifundistas, únicos que están afectados por la escases de tierra, no practican la apicultura por la importancia de las invertiones, son ellos quienes deberían de beneficiarse en prioridad del « desarrollo a través de la apicultura ». Parece ser entonces que todos los campesinos no se benefician por igual de la actividad apícola y que determinar la población interesada tendría que ser la primera etapa para todo proyecto de desarrollo. Español

Over in Guatemala, the beekeeping cooperatives like COADAP receive exterior support in order to improve the quality of the administration, as well as training for the beekeepers. Like this, not only in Guatemala, more and more development projects through beekeeping are proposed. However, the legitimacy of a development through beekeeping can be questioned. Our study's purpose is to show which farmers can have benefit of this initiative and under which conditions. The biophysical environment and the historic evolution shows the tendency of extensive bovine breeding development in a region where milpa's cultures associated with frijol and chicle extraction used to predominate. This generated an important deforestation and an increasing land pressure. In reaction, beekeeping developed as an effective means to increase the families' incomes without needing much land surface. Other rural families oriented themselves to small bovine breeding with or without milking. Moreover, because of the massive land repartition of Petén, the inhabitants are confronted with inequalities concerning the surfaces of the lands the own. Inglés

The production system study divulges the profitability of the agricultural methods used. First of all, the farmers who own very little land and who only have cultures are situated under the subsistence threshold. Moreover, the farmers who have invested in a few cows should milk them and produce cheese in order to increase the bovine productivity. As regarding to beekeeping, the breeding of a few beehives does not generate an important rise of their incomes due to the material amortization and to their work time. Also, the farmers already diversified in breeding whose work calendar is full, do not benefit much for a beekeeping activity since the expense of the salaries carry away a big part of the benefits. Finally, the minifundists, the only ones who suffer from land restrictions, do not practice beekeeping because of the high investments. Those should be the ones to benefit in priority of the "development from beekeeping". Therefore, it appears that not all farmers benefit identically to the introduction of beekeeping activity and that the determination of the interested population should be the first step of all developing projects of that type. Inglés

Au Guatemala les coopératives apicoles comme COADAP reçoivent des programmes d'aides extérieurs afin d'améliorer l'administration, ainsi que des formations pour les apiculteurs. Ainsi, de plus en plus de projets de développement par l'apiculture sont proposés. Pourtant, la question de la légitimité d'un développement par l'activité apicole peut être posée. Notre étude sert à montrer quels sont les paysans susceptibles de bénéficier d'une telle initiative et sous quelles conditions. L'analyse du milieu biophysique et l'évolution historique met en évidence la tendance du développement de l'élevage extensif de bovins dans une région où auparavant les cultures de milpa associé au maïs et l'extraction de chicle dominaient. Cela a engendré une déforestation importante et une pression foncière croissante. Face à cela, l'apiculture s'est développée comme un moyen efficace d'augmenter les revenus des familles sans nécessiter d'une surface importante. D'autres familles paysannes au contraire s'orientent vers le petit élevage bovin avec ou sans traite. Par ailleurs, suite à la répartition massive des terres du Petén, les habitants sont confrontés à des inégalités concernant les surfaces en propriété. Frances

Au Guatemala les coopératives apicoles comme COADAP reçoivent des programmes d'aides extérieurs afin d'améliorer l'administration, ainsi que des formations pour les apiculteurs. Ainsi, de plus en plus de projets de développement par l'apiculture sont proposés. Pourtant, la question de la légitimité d'un développement par l'activité apicole peut être posée. Notre étude sert à montrer quels sont les paysans susceptibles de bénéficier d'une telle initiative et sous quelles conditions. L'analyse du milieu biophysique et l'évolution historique met en évidence la tendance du développement de l'élevage extensif de bovins dans une région où auparavant les cultures de milpa associé au maïs et l'extraction de chicle dominaient. Cela a engendré une déforestation importante et une pression foncière croissante. Face à cela, l'apiculture s'est développée comme un moyen efficace d'augmenter les revenus des familles sans nécessiter d'une surface importante. D'autres familles paysannes au contraire s'orientent vers le petit élevage bovin avec ou sans traite. Par ailleurs, suite à la répartition massive des terres du Petén, les habitants sont confrontés à des inégalités concernant les surfaces en propriété. Frances

L'étude des systèmes de production nous révèlent la rentabilité des pratiques utilisées. D'une part, les paysans possédant très peu de terres, qui n'ont que des cultures, se situent en dessous du seuil de survie. De plus, les paysans ayant investi dans l'élevage à petite échelle ont intérêt de traire et de fabriquer du fromage pour augmenter la productivité des vaches. Concernant l'apiculture, l'élevage de quelques ruches ne génère pas une augmentation importante des revenus, du aux amortissements du matériel et de leur temps de travail. Aussi, les paysans déjà diversifiés en bovin ayant un calendrier de travail chargé ne bénéficient que peu à s'adonner à l'apiculture puisque les frais engendrés dans les salaires emportent une grosse partie des bénéfices. Enfin, les minifundistes, seuls à subir des limitations foncières, ne pratiquent pas l'apiculture du fait de l'importance des investissement s, ce sont ces paysans qui devraient bénéficier en priorité du « développement par l'apiculture ». Il semblerait par conséquent que tous les paysans ne bénéficieraient pas de façons identiques à l'activité apicole et que le ciblage de ces populations devraient être la première étape de tout projet de développement. Frances

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